Ensemble scolaire

St Nicolas & St Joseph

Historique

Historique de l'école Saint-Nicolas

Historique du Collège Saint-Joseph

Les bâtiments du pensionnat Saint-Joseph les plus anciens, entièrement en pierre, datent de 1882. Des bâtiments les plus récents ont été réalisés de chaque côté de la cour centrale. Ensuite, un self a été construit à la place de l’école professionnelle, annexe de Sainte-Barbe à Saint-Etienne, d’un parking et d’un terrain de sports.

  • En 1876, Les Frères de la Croix de Jésus dirigent l’école communale de Saint-Just.
  • En 1882, les Frères de la Croix de Jésus quittent ensuite l’école communale de Saint-Just et ils achètent une propriété pour bâtir un pensionnat. Le Frère Cyril est le fondateur du pensionnat et son premier directeur. 
  • En 1903, la fermeture du pensionnat intervient avec la mise en place des décrets de laïcisation ainsi la maison est achetée par la paroisse qui en donne la gestion aux Frères Maristes mais un long procès les oppose aux Frères de la Croix.
  • En 1922, la vente aux enchères du pensionnat est proposée et monsieur Cartelier (Père Mariste) achète alors les bâtiments avec ses deniers personnels.
  • De 1925 à 1927, c’est la fermeture du pensionnat avec le départ des Frères Maristes. Monsieur Cartelier se retire et il vend l’ensemble du mobilier. Il installe également un gardien. Première disparition des archives du pensionnat.
  • En 1927, monsieur Cartelier vend alors le pensionnat à la Société Civile immobilière (paravent légal du prêtre).
  • En 1929, le propriétaire est monsieur Chaumarat, ancien élève du pensionnat et architecte à Saint-Etienne.
  • Le samedi 26 mars 1938, les restes vénérés du bon frère Cyrille sont transférés au caveau du Pensionnat au cimetière de Saint-Just et le dimanche 27 mars 1938, c’est l’inauguration de la plaque commémorative du Frère Cyrille dans la cour de l’établissement.
  • Le 4 juillet 1952, un incendie détruit le pensionnat, 70 ans après sa création. Nouvelle disparition des archives du Pensionnat.
  • En 1954, c’est l’année de la réouverture et du retour des frères des Ecoles chrétiennes avec des modifications du bâtiment avec l’apparition d’un toit terrasse.
  • En 1955, c’est le cardinal Gerlier de Lyon qui inaugure officiellement le pensionnat pontois.
  • En 1956, il y a un changement d’intitulé ainsi le pensionnat devient le centre scolaire et professionnel de Saint-Joseph qui est alors dirigé par le Frère The. Il comprend trois groupes : une école primaire de cinq classes (du cours préparatoire au cours supérieur) ; un cours complémentaire avec deux classes (sixième et cinquième) et les classes de quatrième et de troisième sont prévues par la suite ainsi qu’une classe de seconde qui ne sera jamais ouverte ;  d’apprentissage qui s’installe dans les locaux neufs qui est intitulé école Sainte Barbe, annexe de Saint-Just-sur-Loire (la mécanique générale est enseignée avec la préparation de deux C.A.P. Tourneur et ajusteur). Le centre accueille 260 élèves dont 92 pensionnaires, 70 demi-pensionnaires et 98 externes.
  • En 1967, le cours complémentaire devient mixte.
  • De 1971 à 1976, l’ensemble des cours complémentaires est situé dans les locaux situés rue Jayol à Saint-Just dans les anciens locaux des religieuses de l’école des filles.
  • 1980 L’internat est fermé.
  • En 1991, c’est l’année du départ du centre d’apprentissage pour la commune voisine de Sury-le-Comtal et qui est devenu L.E.P Sainte Claire.
  • Le 3 juillet 2014, remise du Prix de l’Education citoyenne par l’Association nationale des membres de l’ordre national du mérite (section Loire).
  • 2017 Mise en place d’un ascenseur dans le bâtiment principal.

Liste des directeurs du Pensionnat

  • 1876-1903 Frère Cyril
  • 1905 ? M. Richard (Frère Ruben)
  • 1933 L’Abbé Joseph Bertrand
  • 1956 Frère The

Liste des directeurs Collège Saint-Joseph

  • André Laffont (1963-1968)
  • Jean Denis (1968-1975)
  • Georges Mourgue (1975-1991)
  • Robert Momein (1991-1992)
  • Daniel Vial (1992-1999)
  • Louis Grataloup (1999-2002)
  • Michèle Trève (2002-2012)
  • Monique Lassablière (2012- 2016)
  • Agnès Nicard (2016-en cours)

Jérôme Sagnard, historien

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